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Accueil > Les évènements > Cheffes : Les femmes à l’honneur

A l’occasion de la journée des droits des femmes ce 8 mars, et parce que CAP TRANSACTIONS participe à l’installation de nombreux restaurants en leur offrant des emplacements de qualité adaptés à leurs besoins, nous avons souhaité mettre en lumière trois femmes cheffes rennaises.

Et finalement, cette journée aurait pu être aussi celle du talent car avec ces trois protagonistes, l’excellence et le raffinement sont de mise.

BLANDINE LUCAS, CHEFFE DU RESTAURANT « ESSENTIEL »

Blandine Lucas, cheffe du restaurant ESSENTIEL, met en exergue sa féminité à travers les couleurs de ses plats résolument tournés vers le végétal. « Il n’y a pas de cuisine féminine ou masculine, il y a des savoir-faire et des approches différentes. Une femme aura peut-être une sensibilité plus tournée vers l’humain« , révèle Blandine Lucas.  Et quand nous lui demandons ce qui évoque pour elle la journée de la femme, elle aborde un large sourire : « Je trouve cela amusant et c’est plaisant de se voir enfin accepter dans un milieu très masculin parfois même très brut ».

SYBILLE SELLAM, CHEFFE DU RESTAURANT « BERCAIL »

C’est justement la douceur et la sensibilité que la cheffe du restaurant BERCAIL, Sibylle SELLAM, honore dans ses plats. « Je n’ai jamais ressenti le fait d’être une femme en cuisine. J’ai tellement de choses à raconter au travers de mes plats, au-delà des clichés. Oui une cheffe peut faire autre chose que de la pâtisserie ou travailler le chocolat », constate Sibylle, les yeux emplis de conviction et de volonté. « La féminité c’est pleins d’états, d’humeurs, de moments, finalement comme la masculinité ! ».

VIRGINIE GIBOIRE, CHEFFE DU RESTAURANT « RACINES »

Sur ce point elles s’accordent toutes les trois, comme la cheffe étoilée Virginie Giboire du restaurant RACINES « Je pense qu’être chef ce n’est pas forcément, homme ou femme. Je ne me sens pas femme en tant que cheffe. Ma féminité se ressent dans ma cuisine et non dans mon poste. Dans mes plats, elle s’exprime dans la délicatesse du dressage, la façon d’aborder la cuisine plus végétale et aromatique. »
Pour Virginie Giboire et pour ses consœurs, la journée de la femme ne devrait pas être qu’une journée même si c’est l’occasion de mettre en valeur l’habilité et la réussite. C’est un travail de tous les jours et le principal est finalement de s’épanouir et de jouir de ce que l’on aime.

Cette journée aura été, en tous cas pour nous, l’occasion de rencontrer de très belles personnes et d’ouvrir une fenêtre sur les fondations de ce que l’on souhaite créer en tant qu’acteur de notre territoire : vous conseiller et vous révéler les talents de notre région…

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